Ce groupe avait déjà rencontré le président américain Donald Trump en marge de l'Assemblée générale de l'ONU pour discuter de son plan de paix pour Gaza. Le chef de la diplomatie turque, Hakan Fidan, a clairement exprimé la position d'Ankara en déclarant : "Un cessez-le-feu à lui seul ne suffit pas".
Il a insisté sur la nécessité d'une solution à deux États et a affirmé que "Gaza doit être gouvernée par les Palestiniens".
En amont de ce sommet, M. Fidan a également reçu une délégation du bureau politique du Hamas, signe de la volonté turque de maintenir le dialogue avec toutes les parties. Cependant, cette initiative est perçue avec une grande méfiance par Israël, qui juge Ankara trop proche du Hamas.
Les dirigeants israéliens ont exprimé à plusieurs reprises leur refus de voir la Turquie participer à la future force internationale de stabilisation prévue par le plan américain, estimant que seuls des pays jugés "impartiaux" pourraient y prendre part.











