La prochaine étape cruciale est la création d'une Force Internationale de Stabilisation (FIS) qui remplacerait progressivement l'armée israélienne à Gaza.
Washington affiche son optimisme pour un déploiement dès janvier 2026, mais se heurte à la réticence de plusieurs pays.
Des nations arabes et musulmanes, bien que sollicitées, hésitent à s'engager tant que les combats persistent, craignant des affrontements directs.
L'Indonésie, par exemple, a annoncé avoir préparé jusqu'à 20 000 soldats pour une mission axée sur la santé et la reconstruction, mais conditionne sa participation à un mandat du Conseil de sécurité de l'ONU. La participation de la Turquie est également une source de tensions, Israël ayant exprimé de fortes réserves.
Pendant ce temps, les bombardements israéliens continuent et le Hamas n'a pas annoncé son désarmement.
Ce blocage, combiné à la volonté de Washington d'avancer sur la reconstruction dans la partie de Gaza contrôlée par Tsahal (53% de l'enclave), alimente les craintes d'une division durable du territoire.











