La diplomatie française, qui qualifie ces détentions d'"otage d'État" depuis octobre 2022, a maintenu des canaux de discussion ouverts avec Téhéran, même au plus fort des crises.

Une rencontre entre Emmanuel Macron et son homologue iranien Massoud Pezeshkian en septembre à New York aurait été décisive. Plusieurs articles suggèrent un lien direct entre cette libération et le cas de Mahdieh Esfandiari, une Iranienne détenue en France depuis février 2025 pour "provocation en ligne au terrorisme".

Considérée comme un "agent d'influence", elle a été libérée sous contrôle judiciaire et hébergée à l'ambassade d'Iran à Paris, la veille de l'arrivée du couple français à l'ambassade de France.

Cette coïncidence renforce l'hypothèse d'un échange de prisonniers, même si Téhéran le nie.