La restitution de ce corps, qui doit encore être formellement identifié par des experts médico-légaux en Israël, s'inscrit dans ce cadre.
S'il est identifié, il resterait encore trois otages décédés aux mains des groupes armés palestiniens.
Le Jihad islamique a affirmé que le corps avait été retrouvé dans la ville de Khan Younis, dans le sud de l'enclave.
Cet échange illustre la persistance des enjeux humanitaires malgré la fin des combats actifs.
Le bureau du Premier ministre israélien a réaffirmé que « les efforts pour libérer nos otages se poursuivent et ne cesseront que lorsque le dernier otage aura été libéré », incluant implicitement les dépouilles. Ce processus, bien que prévu par l'accord, reste un sujet sensible et un levier de négociation pour les deux parties.
Il rappelle que, même après la fin des hostilités, les conséquences humaines de la guerre, notamment le sort des personnes décédées et la douleur des familles, continuent de peser lourdement sur la situation politique et la mise en œuvre complète des accords.










