Cependant, à Gaza, la résolution est accueillie avec méfiance.

De nombreux Palestiniens craignent que cette force internationale ne se traduise par une nouvelle forme d'occupation ou une "tutelle étrangère" chargée de démilitariser l'enclave avant de répondre aux besoins humanitaires urgents. Le Hamas a déjà rejeté tout désarmement sans une perspective claire d'un État palestinien, qualifiant le texte de l'ONU de non-conforme "aux exigences et aux droits politiques et humains" du peuple palestinien.

L'absence de garanties sur un retrait complet des forces israéliennes alimente la crainte que l'occupation ne change que de visage.