Cet événement est survenu 17 jours après l'attaque du Hamas en Israël qui a déclenché la guerre.

La plainte a été déposée par leur grand-mère, Jacqueline Rivault, ce qui a conduit le PNAT à se saisir du dossier.

Le parquet a spécifiquement demandé à une juge d'instruction d'enquêter contre X pour la qualification de "crimes de guerre". Cette démarche est significative car elle pourrait, en théorie, mener à des poursuites en France contre les responsables de la frappe, en vertu de la compétence universelle de la justice française pour de tels crimes, surtout lorsque des citoyens français en sont victimes.

Cependant, le parquet a explicitement écarté d'autres qualifications plus lourdes.

Il a estimé qu'il n'y avait "pas lieu" d'enquêter pour "génocide" ni pour "crime contre l'humanité".

Ce choix juridique cadre l'enquête sur les circonstances spécifiques de la frappe et le respect des lois de la guerre, plutôt que sur une intention plus large de détruire un groupe ou de mener une attaque systématique contre une population civile. La décision du parquet représente une étape importante dans la recherche de responsabilité pour les victimes civiles binationales dans le conflit israélo-palestinien.