Un chef spirituel alaouite, Ghazal Ghazal, a également été la cible d'un « crime odieux », ravivant les tensions.

La communauté alaouite, dont est issu l'ancien président Bachar al-Assad, craint des représailles.

Le spécialiste Fabrice Balanche, cité dans un article, analyse la situation comme une forme de « punition collective contre les alaouites », affirmant que pour le nouveau pouvoir en place, « l'objectif est d'éliminer les minorités de Syrie ». Ces événements témoignent de la fragilité de la cohésion sociale dans la Syrie post-Assad et du risque que les anciennes lignes de fracture du conflit se ravivent, menaçant de plonger le pays dans un nouveau cycle de violences sectaires.