L'armée israélienne a justifié ces opérations comme des réponses à des attaques contre ses soldats.
Les affrontements sont fréquents dans l'enclave palestinienne.
Un raid israélien mené le 3 décembre près de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, a tué cinq personnes, dont deux enfants. L'armée israélienne a affirmé avoir "frappé un terroriste du Hamas" lors de cette opération et a rapporté que cinq de ses soldats avaient été blessés, dont un grièvement. Un autre incident similaire a été signalé, avec une frappe sur Gaza en réponse à une attaque contre des soldats israéliens, faisant également cinq morts.
Ces événements illustrent la persistance d'un cycle de violence et de représailles, malgré l'existence d'une trêve qualifiée de "fragile".
Les victimes civiles, et notamment les enfants, continuent d'alourdir le bilan humain d'un conflit qui ne montre aucun signe d'apaisement durable.
Chaque opération militaire, même ciblée selon les déclarations officielles, entraîne des conséquences dramatiques pour la population gazaouie, prise au piège des hostilités.












