Les médiateurs, notamment le Qatar et l'Égypte, jouent un rôle crucial. Lors du Forum de Doha, ils ont appelé au retrait total des troupes israéliennes et au déploiement rapide d'une force internationale, soulignant que "nous sommes à un moment critique" et qu'un cessez-le-feu complet ne peut être atteint sans ces conditions.

Le chef du Hamas pour Gaza, Khalil al-Hayya, a ajouté une dimension complexe en se déclarant prêt à remettre les armes à une autorité palestinienne, mais seulement si "l'occupation israélienne cesse", tout en rejetant une force internationale dont la mission serait de désarmer son mouvement. Dans ce contexte, Benyamin Netanyahu, qui doit rencontrer le président américain Donald Trump en décembre, cherche également à discuter des "opportunités de paix" plus larges dans la région, tout en maintenant le contrôle sécuritaire israélien sur la Cisjordanie, un point de friction avec Washington.