Pour les réfugiés, cette perspective est vécue comme une menace existentielle.

Un réfugié a déclaré que la fermeture de l'agence serait "une tentative de nous effacer", soulignant que le rôle de l'UNRWA va bien au-delà du simple soutien matériel. L'agence, déjà financièrement exsangue et entravée dans son action sur le terrain, gère des services essentiels, notamment dans le domaine de l'éducation.

Ironiquement, alors que les activités de l'UNRWA ont été interdites au début de l'année, l'Université islamique de Gaza a pu reprendre ses cours en présentiel, illustrant une situation complexe où les institutions éducatives tentent de fonctionner malgré les pressions politiques et les destructions.