L'ancienne cité prospère d'Aden, siège provisoire du gouvernement, est décrite comme "suffoquant sous l'afflux massif des déplacés fuyant la guerre".

La ville s'enfonce dans une crise profonde, marquée par des coupures d'électricité constantes, un manque d'eau courante et des services publics au bord de l'effondrement. Cette pression démographique et logistique menace de paralyser totalement la ville, illustrant la détresse du pays le plus pauvre de la péninsule arabique.