Khaled Meshaal, ancien chef du mouvement, a proposé une alternative : un « gel » ou un « stockage » de l'armement, accompagné d'une trêve de longue durée de sept à dix ans.

Cette proposition a été immédiatement rejetée par Israël, un responsable gouvernemental affirmant sous couvert d'anonymat : « Le groupe terroriste sera désarmé et Gaza sera démilitarisée ».

Le Hamas, de son côté, accuse Israël de « 738 violations » de l'accord de cessez-le-feu, notamment des attaques quasi quotidiennes et un volume d'aide humanitaire insuffisant, jugeant « impossible » le passage à l'étape suivante dans ces conditions. Cette impasse prolonge l'instabilité et la crise humanitaire, laissant l'avenir de Gaza suspendu à des négociations complexes où chaque partie campe sur ses positions.