Cette prise de position est d'autant plus notable que l'organisation avait précédemment accusé Israël de commettre un génocide à Gaza, montrant ainsi que le droit international s'applique à toutes les parties au conflit.

Le Hamas a réagi en demandant à Amnesty de retirer son rapport.

Cette nouvelle qualification par une organisation de défense des droits humains de premier plan pourrait avoir des répercussions sur les procédures judiciaires internationales et renforce la pression sur le mouvement palestinien.