Cet assassinat intervient dans un contexte où le Hamas, bien que « militairement brisé », se retrouve « politiquement renforcé », selon l'analyste Michel Fayad.

Le mouvement islamiste maintient une position ferme, exigeant de pouvoir conserver ses armes comme condition préalable à toute négociation.

Un dirigeant du Hamas a toutefois proposé de geler l'armement du mouvement en échange d'une trêve durable. Parallèlement, la pression internationale s'accentue sur le Hamas, notamment avec un rapport d'Amnesty International l'accusant pour la première fois de « crimes contre l'humanité » pour ses actions du 7 octobre et après.