Cette mesure intervient alors que les besoins humanitaires sont immenses.

Les ONG, qui attendaient une décision sur leur statut d'ici le 31 décembre, alertent sur un risque majeur pour l'accès aux soins, à la nourriture, à l'eau et aux abris.

L'ONU et les acteurs humanitaires partagent cette inquiétude, soulignant que cette nouvelle politique pourrait entraver drastiquement la fourniture de services vitaux à une population dévastée par deux années de bombardements.