Cette stratégie se traduit par une réduction drastique des liquidités, qui atteignent un plus bas historique.
Les gérants interrogés dans le cadre du Panel Actions manifestent une confiance persistante envers les marchés d'actions occidentaux, anticipant une progression de 2 % à 3 % à un horizon de six mois.
Cet optimisme se traduit par des décisions concrètes en matière d'allocation d'actifs.
Les portefeuilles voient leur poche d'actions et d'obligations se renforcer, signalant une conviction dans la résilience de l'économie et le potentiel de croissance des entreprises. L'indicateur le plus marquant de cette prise de risque est la chute de la part de liquidités (cash) dans les allocations, qui tombe à un "plus bas historique de 1%".
Cette quasi-disparition du cash suggère que les gérants ne souhaitent pas rester sur la touche et préfèrent déployer leur capital pour capter les rendements du marché.
Parallèlement, on observe un désintérêt pour les actifs alternatifs, qui "ne séduisent plus", marquant un retour vers des classes d'actifs plus traditionnelles.
Cette confiance est cependant plus nuancée géographiquement.
Si les places occidentales sont plébiscitées, le Nikkei japonais est attendu en léger recul, les gérants anticipant une consolidation après sa "flambée de plus de 16% en octobre".










