Son concurrent AMD a également trébuché, perdant 4,15%.
À l'inverse, Alphabet a poursuivi son ascension, gagnant 1,53% pour atteindre un nouveau record pour la deuxième séance consécutive, approchant une capitalisation boursière de 4 000 milliards de dollars. Ce mouvement de balancier s'explique par des informations de presse selon lesquelles Meta (Facebook, Instagram) envisagerait d'utiliser des puces conçues par Google pour ses infrastructures de cloud. Une telle décision réduirait la dépendance de Meta vis-à-vis de Nvidia et signalerait l'émergence d'une concurrence crédible dans un domaine jusqu'ici dominé par ce dernier. Selon Angelo Kourkafas d'Edward Jones, cet épisode montre que "les acteurs du marché tentent d'être un peu plus sélectifs dans le domaine de l'intelligence artificielle, car la concurrence semble s'intensifier". Les investisseurs ne misent plus aveuglément sur le leader mais commencent à évaluer les challengers potentiels.









