L'activité diplomatique semble en effet s'être accélérée.
Le Kremlin a fait une déclaration remarquée en relevant certains points "positifs" dans le plan américain proposé pour mettre fin au conflit, une ouverture qui a été interprétée positivement par les marchés.
De plus, l'annonce de la visite de l'émissaire spécial américain Steve Witkoff à Moscou "la semaine prochaine" pour discuter avec le président russe a renforcé l'idée que des négociations sérieuses sont en cours. Bien que les frappes russes se poursuivent sur le terrain, créant un contraste saisissant avec les pourparlers en coulisses, les marchés ont choisi de se concentrer sur le potentiel de désescalade.
Pour les investisseurs en Europe, la fin du conflit aurait des conséquences économiques directes et significatives. Selon Zakaria Darouich, de CPR AM, "le scénario d'une paix en Ukraine en 2026 se rapproche, et cela devrait être positif pour les économies voisines, à savoir les pays européens".
Cette perspective de stabilisation géopolitique et de réduction des incertitudes économiques a fourni un soutien tangible aux indices boursiers du continent, qui ont clôturé la journée en nette hausse.









