L'indice londonien a été soutenu par des facteurs sectoriels spécifiques, lui permettant de se démarquer dans un contexte de prudence généralisée. Alors que Paris et Francfort cédaient du terrain, l'indice FTSE 100 de la Bourse de Londres a terminé la séance sur un gain significatif de 0,92 %.
Cette progression avait déjà été amorcée dès les premiers échanges, avec une ouverture en hausse de 0,80 %.
Cette performance positive à contre-courant s'explique principalement par la bonne tenue des valeurs du secteur de l'énergie. En effet, les grands groupes pétroliers, qui pèsent lourd dans la composition de l'indice londonien, ont bénéficié d'une augmentation du prix du baril de pétrole. Selon l'un des articles, cette hausse des cours du brut a été provoquée par "l'annonce de blocus du Venezuela par Donald Trump". Cet événement géopolitique a eu un impact direct et positif sur les actions des compagnies pétrolières, entraînant par conséquent l'ensemble de l'indice à la hausse. Ce mouvement illustre comment des facteurs exogènes et spécifiques à un secteur peuvent parfois l'emporter sur le sentiment macroéconomique global et créer des divergences de performance importantes entre les différents marchés boursiers internationaux, même au sein d'une même région géographique comme l'Europe.











