Cette nouvelle procédure s'ajoute à d'autres affaires similaires, tandis que l'artiste poursuit ses provocations sur les réseaux sociaux.
La réponse de Booba aux controverses qui l'entourent est double : une confrontation judiciaire et une communication publique agressive. Sur le plan légal, suite à une plainte déposée par Gims et sa compagne Demdem pour des faits de cyberharcèlement courant depuis 2018, Booba a été interpellé et placé en garde à vue. Il a ensuite été mis en examen pour "harcèlement moral en ligne ayant causé une incapacité de travail supérieure à huit jours" et a reçu une interdiction d'entrer en contact avec la plaignante.
Cette affaire s'ajoute à d'autres poursuites, notamment celle pour harcèlement contre l'influenceuse Magali Berdah.
Face à ces procédures, la réponse de l'artiste se fait par le biais de ses avocats.
Cependant, sur la scène publique, sa stratégie est tout autre.
Loin de faire profil bas, il continue d'utiliser les réseaux sociaux comme une arène.
Il a récemment pris pour cible la chanteuse Vitaa, se moquant de ses difficultés présumées à vendre des billets pour son concert à Marseille. Il a commenté publiquement : "Vivement la fin de vos mascarades.
En même temps #vitaa à quel moment tu te dis j’vais faire une tournée et les gens vont venir me voir ?
T’es qui tu chantes quoi ?
".
Cette posture de confrontation permanente semble être sa principale stratégie de communication, entretenant son image de provocateur et mobilisant sa base de fans, tout en réglant ses comptes avec ses rivaux de l'industrie musicale.







