De nouveaux témoignages publiés dans la presse accentuent la pression sur l'artiste, qui continue de contester les faits.
La principale réponse à cette controverse renouvelée est d'ordre judiciaire.
Après que le parquet de Paris a classé l'affaire en janvier, arguant que les faits n'avaient pu être "clairement établis", deux des trois femmes accusant le rappeur de viol ont décidé de ne pas abandonner. Elles ont déposé une "plainte avec constitution de partie civile", une procédure qui permet de saisir directement un juge d'instruction et de relancer l'enquête. Cette action démontre une forte détermination de la part des plaignantes à obtenir justice. Parallèlement à cette démarche légale, la pression médiatique s'est intensifiée avec la publication de nouveaux témoignages dans le journal *Libération*.
Quatre femmes y accusent le rappeur, notamment pour des faits de viol.
L'une d'elles raconte : "Il s’est jeté sur moi".
Face à ces développements, la stratégie de Lomepal semble être celle du silence médiatique, laissant la justice suivre son cours.
Les articles mentionnent qu'il "conteste" les faits, mais aucune déclaration publique directe de sa part ou de son équipe n'est rapportée. Cette posture suggère une stratégie de défense axée exclusivement sur le terrain juridique, évitant de s'exposer à un débat public qui pourrait nuire à son image, quelle que soit l'issue de l'affaire.







