Sa prise de parole, soutenue par son compagnon François Civil, illustre une nouvelle manière pour les célébrités de gérer les intrusions dans leur vie privée.
La controverse a débuté après la publication par Paris Match de photos volées montrant l'actrice avec un "ventre arrondi", affirmant qu'elle attendait un enfant avec François Civil.
La rumeur s'est rapidement propagée.
Invitée dans le podcast "Sally", Adèle Exarchopoulos a démenti l'information de manière directe et décalée : "On a dit que j’étais enceinte alors que c’est faux.
J’avais juste mangé libanais".
Elle a ensuite profité de l'occasion pour critiquer cette pratique médiatique : "Une fois de plus, on fait un commentaire sur le corps d’une femme".
L'actrice a souligné le potentiel préjudice de telles rumeurs : "Dieu merci, je ne traverse aucune épreuve qui fait que ça pourrait me heurter parce que c’est faux", ajoutant "Imagine que c’était vrai et que je n’avais pas pu l’annoncer moi-même".
Sa réponse a été précédée par celle de François Civil, qui avait déjà exprimé sa colère dans Le Figaro : "Ce sont des photos complètement volées.
L'information relayée en couverture est fausse.
On se sent volés de moments de vie". Il avait qualifié la publication de "très dommage qu'un magazine s'abaisse à mettre en couverture une histoire dont tout le monde se fout". La gestion de cette fausse information par le couple, combinant l'humour d'Exarchopoulos et l'indignation de Civil, montre une volonté de ne pas se laisser dicter le récit de leur vie privée et de dénoncer publiquement ce qu'ils considèrent comme une dérive de la presse people.







