Les conséquences pour Andrew sont multiples : il est sommé de quitter sa résidence du Royal Lodge, et la menace d'une extradition vers les États-Unis plane, un journaliste, Jeremy Vine, affirmant qu'il pourrait se retrouver "dans une prison américaine" dans les cinq prochaines années, n'ayant "plus aucune protection". La famille de Virginia Giuffre, principale accusatrice, a salué la décision du Palais, y voyant une reconnaissance de sa culpabilité.

La controverse rejaillit sur son entourage proche. Son ex-épouse, Sarah Ferguson, qui partageait sa résidence, a perdu son titre de duchesse et semble paniquée, un proche confiant qu'elle "n'a nulle part où aller".

Leurs filles, les princesses Beatrice et Eugenie, sont également affectées, le prince Harry exprimant sa préoccupation pour ses cousines, victimes collatérales.

Meghan Markle, en revanche, soucieuse de son image, souhaiterait garder ses distances avec le clan York, créant une potentielle nouvelle source de tension avec son mari. La gestion de cette crise par la famille royale est une démonstration de force visant à préserver l'institution, quitte à sacrifier l'un de ses membres les plus éminents.