Cette décision, qui fait suite à son implication dans l'affaire Epstein, marque sa mise à l'écart définitive de la vie publique et le place dans une situation d'isolement sans précédent. Le roi Charles III a engagé une procédure officielle pour que son frère, désormais connu sous le nom civil d'Andrew Mountbatten Windsor, soit privé de son statut de prince. Cette chute brutale, qualifiée par un biographe royal de "dévastatrice", a des répercussions sur l'ensemble de son entourage. Son ex-épouse, Sarah Ferguson, perd également son titre de duchesse et, selon plusieurs sources, le couple aurait décidé de vivre séparément après des années de cohabitation au Royal Lodge, signe des "énormes tensions" subies.

Leurs filles, les princesses Beatrice et Eugenie, se retrouvent dans une position délicate, prises entre leur loyauté paternelle et la pression de la Couronne. Des rumeurs suggèrent que le prince William, qui aurait joué un rôle clé dans l'éviction de son oncle, les aurait menacées de perdre leurs propres titres si leur père ne coopérait pas, une information que le palais de Kensington n'a pas confirmée.

Face à cette situation, Andrew Mountbatten Windsor est décrit comme n'ayant "plus personne vers qui se tourner".

Sa seule réponse publique a été de renoncer à ses titres avant que la décision ne soit officialisée.

La nouvelle a même suscité une réaction de Donald Trump, qui a déclaré : "Je me sens très mal". Cette affaire illustre la volonté de la monarchie, sous l'impulsion de Charles et William, d'adopter une ligne de "tolérance zéro" face aux scandales pour préserver l'institution, quitte à sacrifier l'un de ses membres les plus éminents.