En réponse à cette mise à l'écart, celui qui se fait désormais appeler Andrew Mountbatten-Windsor ne reste pas silencieux.
Il aurait posé des conditions spécifiques pour son déménagement, exigeant un « logement convenable et un personnel adapté », incluant cuisinier, majordome et jardinier, financés par le roi.
Cette attitude est perçue comme un dernier acte de défi face à son exil forcé.
La gestion de crise de la famille royale se manifeste également par le silence calculé de ses membres les plus éminents. Interrogé par CNN sur les « changements survenus récemment dans votre famille », le prince William a habilement esquivé la question en recentrant la conversation sur son prix Earthshot, déclarant : « Plutôt que d’en parler, nous agissons.
C’est là que je veux que les choses se passent ».
Cette pirouette médiatique illustre la volonté de la Firme de ne pas commenter publiquement la disgrâce d'Andrew.
Pendant ce temps, l'affaire continue d'avoir des répercussions, notamment sur ses filles, les princesses Beatrice et Eugenie, qui se tiennent à l'écart du scandale, et alimente les spéculations sur une possible extradition vers les États-Unis, où il a été convoqué par le Congrès.












