Le 3 novembre, Hoshi a publié un long texte sur Instagram, brisant ce qu'elle décrit comme des mois de silence.

Elle y affirme avoir été « salie, abusée » et que son consentement « n’existait plus » dans sa relation avec Gia Martinelli et la nouvelle compagne de cette dernière.

« J’ai dit non. J’ai répété que je ne le voulais pas et j’ai dit que je le vivais mal.

Mais mes refus n’ont pas été écoutés, ni respectés », écrit-elle, ajoutant que ses « 'non' ont été piétinés ».

Hoshi explique avoir déposé plusieurs plaintes qui font l'objet d'une enquête, concluant son message par une phrase forte : « certaines danses laissent des cicatrices qu’aucune musique ne pourra jamais effacer ».

Face à ces accusations graves, Gia Martinelli a rapidement répliqué.

Dans une interview accordée au *Parisien*, elle a réfuté toutes les allégations, qualifiant la démarche de son ex-compagne d'« indigne de notre histoire d'amour ».

Elle donne une version radicalement différente des faits, évoquant une relation à trois (« trouple ») qui aurait été introduite par Hoshi elle-même. Gia Martinelli affirme que leur rupture a conduit Hoshi à lui promettre des « répercussions », une menace qui, selon elle, se matérialise aujourd'hui par ces accusations publiques. Elle se dit prête à se battre, déclarant : « S'il faut se battre, je me battrai ».

La controverse a ainsi pris une dimension de « parole contre parole », chaque partie utilisant les médias pour exposer sa version d'une relation devenue manifestement toxique.