Ce timing a été interprété par de nombreux observateurs comme une tentative de voler la vedette à son frère.

Face à ces accusations, l'entourage du duc a réagi fermement.

Un porte-parole a démenti toute stratégie, affirmant que « les événements ont été planifiés il y a près d’un an » et que la date était fixée par l'organisme de bienfaisance. Il a également justifié l'annonce tardive par des contraintes de sécurité, expliquant que Harry « n’a pas le même niveau de protection que les autres membres de la famille royale ». La seconde polémique, surnommée le « hatgate », concernait le port d'une casquette des Dodgers de Los Angeles lors d'un match, un geste perçu comme un affront par les fans canadiens des Blue Jays de Toronto. Plutôt que de laisser l'affaire enfler, le prince Harry a présenté des excuses publiques lors d'une interview sur CTV News.

« Je voudrais présenter mes excuses au Canada pour l'avoir porté », a-t-il déclaré, expliquant qu'il était « sous la contrainte » en tant qu'invité du propriétaire des Dodgers. Il a ajouté avec humour qu'il porterait désormais une casquette des Blue Jays pour ne « plus commettre ces erreurs ».

Cette double réponse illustre une nouvelle approche de communication, plus réactive et directe, visant à désamorcer rapidement les critiques et à contrôler le narratif médiatique.