Ces incidents ont forcé le comité à réagir, allant jusqu'au licenciement du responsable, et ont mis en lumière les tensions en coulisses de l'événement. La polémique principale a éclaté lors d'une réunion préparatoire en Thaïlande, lorsque Nawat Itsaragrisil, directeur du comité local, s'en est pris violemment à Miss Mexique, Fátima Bosch.

Lui reprochant de ne pas avoir suffisamment promu la Thaïlande sur ses réseaux sociaux, il l'a publiquement qualifiée de « débile » et a tenté de la faire expulser de la salle par la sécurité. La scène, filmée et diffusée en ligne, a montré la candidate en larmes, se défendant : « J’ai une voix.

Vous ne me respectez pas en tant que femme ».

Sa prise de position a été saluée par plusieurs autres candidates qui, par solidarité, ont quitté la salle avec elle.

Face au tollé international, l'organisation a réagi : Nawat Itsaragrisil a d'abord tenté de s'excuser avant d'être finalement démis de ses fonctions.

Un autre incident a touché la représentante française, Ophély Mézino (Miss Guadeloupe).

Dans une vidéo officielle publiée sur le compte TikTok du concours, son nom a été mal orthographié en « Ophély México ».

Cette confusion, particulièrement maladroite dans le contexte de l'altercation avec Miss Mexique, a provoqué l'indignation des internautes.

Ophély Mézino a choisi de réagir avec élégance, publiant un message appelant à l'unité et au respect.

Ces multiples erreurs ont terni l'image du concours avant même son lancement, forçant l'organisation à publier un communiqué pour réaffirmer son engagement envers un événement réussi.