Une fuite dans la presse, affirmant qu'« Aya Nakamura chantera Édith Piaf », aurait été orchestrée pour susciter une polémique et discréditer ce choix.

Cette manœuvre s'est retournée contre ses auteurs : la controverse, largement alimentée par l'extrême droite, a rendu la présence de la chanteuse « incontournable » pour ne pas donner l'impression que l'Élysée cédait à la pression.

Finalement, sa performance a été un succès, et le couple présidentiel aurait même changé d'avis à son sujet, Brigitte Macron l'invitant par la suite à l'opération Pièces Jaunes.

Cependant, la controverse n'est pas éteinte.

Dans un numéro récent de *Complément d’enquête*, le journaliste sportif Nelson Monfort a ravivé le débat en livrant son avis tranché sur la prestation. Tout en reconnaissant le talent de la chanteuse, il a déclaré : « je ne crois pas qu’Aya Nakamura fréquente assidûment l’Académie Française. De voir Aya Nakamura qui sort de l’Académie française, déjà, il y a quelque chose qui cloche ».

Il a jugé sa performance « pas indispensable », relançant ainsi les critiques sur la pertinence de ce choix artistique pour un événement d'une telle envergure.