Sur le plan politique, sa réponse a été rapide et ferme.

Dans une publication sur son compte X, il a remercié ses soutiens pour leurs "milliers de témoignages" qui l'ont "bouleversé", tout en affirmant sa combativité : "Mon énergie n’est tendue que vers le seul but de prouver mon innocence.

La vérité triomphera".

Ce message, où il assure que "la fin de l’histoire reste à écrire", pose les bases de sa défense en appel.

Cette communication a été complétée par l'intervention de son ex-épouse, Cécilia Attias, qui, depuis la Bulgarie, a dénoncé une justice s'apparentant à une "vengeance" et a appelé à sa libération rapide, ajoutant une dimension internationale à l'affaire. Parallèlement, la révélation lors de l'audience de détails sur ses finances, incluant une pension alimentaire de 77 751 euros versée à Mme Attias, a offert une rare incursion dans le patrimoine de l'ex-chef d'État, contrastant avec l'image plus sobre cultivée depuis sa sortie.