Fidèle à son image de franc-tireur, il utilise la provocation comme principal outil de communication pour régler ses comptes.
Invité de l'émission Le Crayon le 9 novembre, l'ancien animateur a d'abord réglé un contentieux personnel avec Léa Salamé.
Il a déclaré sans ambages : "Je n’aime pas cette nana pour 1000 raisons", avant de raconter un souvenir d'interview où il s'est senti injustement attaqué.
Selon lui, la journaliste l'aurait accusé d'avoir écrit que "toutes les femmes sont des sal*pes", une affirmation qu'il nie et pour laquelle elle n'aurait pas fourni de preuve. Il dénonce "cette manière de piéger les gens" et l'"hypocrisie médiatique".
Sa critique envers Jean-Luc Mélenchon est, quant à elle, d'ordre politique.
Patrick Sébastien accuse le leader de La France Insoumise d'opportunisme électoral, affirmant qu'il a trouvé "un réservoir à thune avec les musulmans". Il explique que les partis étant financés au nombre de voix, "tant qu’il flatte les musulmans, il a toutes les voix des musulmans donc ça fait de la thune". Il a également critiqué le nom du parti, "Les Insoumis", arguant que ses membres sont en réalité "soumis aux décisions de Mélenchon".
À travers ces attaques directes, Patrick Sébastien cultive son personnage public d'"insoumis", qui n'a "même pas peur" de dire ce qu'il pense, quitte à créer la controverse.












