Cette affaire judiciaire représente une crise majeure pour l'image de l'artiste, qui n'a pas encore réagi publiquement.
Selon les informations rapportées par *Le Parisien*, le rappeur, de son vrai nom Aurélien N'zuzi Zola, a été interpellé et placé en garde à vue le 18 novembre avec trois autres personnes.
Les faits reprochés remontent au 6 novembre.
Un jeune homme de 19 ans se serait rendu devant le domicile de l'artiste au Pin (Seine-et-Marne) pour le prendre en photo. Le rappeur serait alors sorti avec un groupe de huit personnes cagoulées et armées.
Après avoir tenté de fuir, la victime aurait été rattrapée, emmenée de force dans la maison et séquestrée pendant deux heures. Durant ce laps de temps, le jeune homme aurait été roué de coups, forcé de se déshabiller, et aurait eu une arme de poing mise dans la bouche. Ses agresseurs présumés auraient également tiré des coups de feu près de lui avant de lui voler son téléphone et sa carte bancaire. Il aurait ensuite été reconduit à son véhicule, endommagé, et menacé de mort s'il contactait la police. L'ampleur et la gravité des accusations, qui incluent la séquestration et les violences en réunion avec arme, placent Zola dans une situation juridique et médiatique extrêmement délicate.
Pour l'heure, ni l'artiste ni ses représentants n'ont fait de déclaration publique.











