La première agression a eu lieu le 20 novembre, lorsqu'elle a été attaquée par un chien non tenu en laisse pendant son jogging.
Mordue à la main et à la jambe, elle a dû recevoir des soins importants.
Sa réponse a été double : d'une part, elle a déposé plainte à la gendarmerie, une démarche légale pour faire valoir ses droits. D'autre part, elle a utilisé sa plateforme pour interpeller les propriétaires de chiens, rappelant fermement l'obligation légale de tenir les animaux en laisse dans les lieux publics. "C’est interdit de laisser des chiens courir dans la nature", a-t-elle martelé, soulignant le danger potentiel, notamment pour les enfants.
Quelques jours plus tard, le 23 novembre, elle a annoncé avoir subi une seconde agression, qu'elle a qualifiée "d'une violence extrême", lui laissant un "nez cassé et des lésions aux cervicales".
Pour cette seconde épreuve, sa communication a été plus réservée.
Tout en confirmant avoir déposé plainte et remercié les secours, elle a avoué n'avoir "ni la force, ni l'envie" de donner plus de détails pour le moment, indiquant son besoin de se reposer et de se protéger. Cette gestion différenciée montre comment une personnalité publique peut utiliser les réseaux sociaux à la fois comme un outil de sensibilisation et comme un moyen de contrôler le récit de ses épreuves personnelles, en choisissant ce qu'elle partage et à quel moment.







