Cette décision, expliquée lors d'une interview, révèle des relations familiales complexes et une vision très personnelle du deuil.
Invité dans l'émission "Jet de Luxe", Olivier Villa a été catégorique : il n'ira pas à l'enterrement de son père, ni à celui de sa mère, avec qui il a coupé les ponts après qu'elle a accusé, selon lui à tort, Patrick Sébastien de le violenter.
Concernant son père, sa justification est d'ordre moral et vise l'hypocrisie du milieu du show-business.
"Ça m'emmerde de voir des gens qui font semblant de pleurer [...] et puis voir des gens qui mettent des lunettes noires alors qu'ils ne pleurent pas derrière, la presse, etc", a-t-il lancé. Par cette déclaration, il se positionne en marge des conventions sociales et médiatiques entourant la mort des personnalités publiques.
La réponse de Patrick Sébastien à cette annonce, telle que rapportée par son fils, est tout aussi singulière et témoigne d'une forme de détachement.
L'ancien animateur aurait réagi en disant : "J'en ai rien à foutre. Je m'en fous, je serai mort".
Cette réplique, loin d'être un signe de conflit, semble indiquer une compréhension mutuelle et un accord tacite entre le père et le fils sur la manière de gérer l'après. Olivier Villa a précisé que cette décision ne relevait pas d'un rejet, mais d'une volonté de vivre en "autonomie affective, loin des drames familiaux". Cette démarche publique est une manière pour lui d'affirmer sa vérité et de se détacher d'un protocole qu'il juge factice.







