Il a exprimé des remords, déclarant : "J’ai honte encore aujourd’hui d’avoir joué à ce jeu ridicule".
Sa défense vise à dissocier ses actes de toute connotation sexuelle, une position que la procureure n'a pas partagée, requérant six mois de prison avec sursis et 10 000 euros d'amende.
La plaignante, Caroline Barel, a fermement contesté la notion de consentement, affirmant n'avoir jamais voulu participer à ce "jeu". L'élément le plus surprenant de l'audience fut la révélation par l'animateur de sa situation personnelle.
Alors qu'Hapsatou Sy était présente dans la salle pour le soutenir, il a déclaré qu'ils étaient "séparés depuis un an et demi, mais en très bons termes". Cette annonce, faite pour clarifier un point soulevé par la partie civile, contraste avec le soutien public et inconditionnel que son ex-compagne lui avait affiché, notamment sur Instagram où elle écrivait : "S’il y en a une qui te connaît, c’est moi".
L'animateur a également souligné les conséquences professionnelles de l'affaire, affirmant être mis à l'écart du milieu audiovisuel depuis sa mise en examen.












