Ces deux actions distinctes constituent des réponses publiques visant à clore ou à redéfinir les enjeux de cette longue bataille familiale.
D'un côté, Laeticia Hallyday a mis un terme à un "tsunami fiscal" en remboursant les 36 millions d'euros réclamés par l'administration française.
Pour y parvenir, elle a dû prendre des décisions difficiles, notamment la vente de propriétés emblématiques comme la villa de Marnes-la-Coquette et celle de Pacific Palisades. Cette résolution financière, bien que douloureuse, est une victoire stratégique qui lui permet de clore le chapitre le plus lourd de la succession et de commencer une nouvelle vie, libérée de ce fardeau. De l'autre côté, David Hallyday utilise le documentaire "Hallyday par David" pour livrer sa vérité sur le conflit.
Sa stratégie consiste à déplacer le débat du terrain financier au terrain symbolique et affectif.
Il affirme que l'enjeu n'a jamais été l'argent, mais une forme de reconnaissance.
"Un héritage c’est… la preuve qu’on a existé pour un parent, c’est surtout ça", déclare-t-il. En précisant qu'il ne demandait que le "droit moral" sur la musique de son père, il se positionne comme un fils en quête de validation posthume plutôt que comme un héritier avide.
Il assure vouloir clore ce chapitre "trop douloureux" et "très impudique", tout en adressant une pique à "des gens qui, pour [lui], ne le méritent pas", une référence à peine voilée à Laeticia.












