Via une vidéo sur Instagram, il a dénoncé ce qu'il considère comme une exploitation abusive du nom de l'acteur à des fins commerciales. La controverse a débuté lorsque Drouot a annoncé la mise aux enchères d'une Cadillac de 1956, présentée comme ayant une "provenance remarquable" car elle aurait appartenu à Jean-Paul Belmondo. La preuve avancée était une signature de l'acteur sur la boîte à gants.

Face à cette annonce, Paul Belmondo a adopté une stratégie de rectification directe et publique.

Dans une vidéo, il s'adresse fermement à la maison de ventes : "Alors vous avez mis en vente une Cadillac qui n’a jamais appartenu à mon père. Jamais jamais jamais voilà".

Il explique que la signature n'était qu'un geste de gentillesse de la part de son père envers le propriétaire du véhicule.

Il dénonce la démarche en ironisant : "Si vous devez mettre en vente toutes les voitures dans lesquelles mon père s’est assis, vous allez en avoir des voitures à vendre". Tout en se montrant ferme, il adopte un ton courtois en fin de message, appelant Drouot, une "maison très sérieuse", à "modifier [son] annonce". Son objectif est clair : protéger l'intégrité de la mémoire de son père et empêcher que son nom soit utilisé pour faire gonfler la valeur d'un objet avec lequel il n'avait pas de lien de propriété.