Il a déclaré vouloir pousser pour "l'indignité successorale" d'Anouchka, affirmant : "Je n’ai pas envie qu’elle touche quoi que ce soit, ni même un centime".
Il soutient que sa démarche n'est pas motivée par l'argent, mais par le désir de "faire respecter les dernières volontés de mon père". Il a également fait état de l'état de santé déclinant de l'acteur, qui aurait échoué à plusieurs tests cognitifs, atteignant des scores "en dessous du seuil limite qui était considéré comme de la démence".
La réponse d'Anouchka Delon a été cinglante.
Sur Instagram, elle a qualifié les actions de son frère de "scénario chimérique, calomnieux et paranoïaque", le comparant à "Brutus" ou "Judas" qui la poignarde dans le dos. Elle dénonce des "menaces" et un "chantage de mafieux de série B", affirmant refuser de se laisser "agrafer une étiquette qui n’est pas sienne". Cette guerre fratricide se joue désormais sur la place publique, chaque camp utilisant les médias et les réseaux sociaux pour défendre sa position, transformant l'héritage d'une icône du cinéma en un règlement de comptes familial acrimonieux.












