Face au tollé, les comités régionaux, soutenus par la société Miss France, ont prononcé leur destitution immédiate.
Les réactions des figures du concours ont été fermes.
Sylvie Tellier, ancienne directrice, a commenté sur RTL : "Elles ont de la chance que je ne sois plus là", suggérant une sanction encore plus sévère sous sa direction.
Frédéric Gilbert, l'actuel président, a qualifié les propos de "violents" et en "totale contradiction avec les valeurs" du concours.
La nouvelle Miss France, Hinaupoko Devèze, a quant à elle appelé à l'apaisement, estimant qu'il fallait "passer à autre chose" après les excuses des jeunes femmes.
L'affaire a cependant connu un rebondissement majeur : Julie Zitouni, l'ex-Miss Provence, a annoncé porter plainte pour diffamation et harcèlement en ligne, se disant victime d'une "particulière violence" et de "graves conséquences psychologiques". Cette démarche transforme la nature de la polémique, la jeune femme sanctionnée pour son comportement se positionnant désormais comme une victime de cyberharcèlement, illustrant la complexité et la violence des réactions sur les réseaux sociaux.












