"Alors vous avez mis en vente une Cadillac qui n’a jamais appartenu à mon père. Jamais jamais jamais voilà", a-t-il déclaré sans ambages.

Il explique que la signature de son père sur la boîte à gants, utilisée par Drouot comme argument de vente, n'était qu'un geste de sympathie envers le propriétaire de l'époque et ne constituait en aucun cas une preuve de propriété.

Avec une pointe d'ironie, il a ajouté : "Si vous devez mettre en vente toutes les voitures dans lesquelles mon père s’est assis, vous allez en avoir des voitures à vendre".

En s'adressant directement à Drouot, qu'il qualifie de "maison très sérieuse", il a exprimé sa confiance quant à une modification de l'annonce. Cette intervention directe et publique est une stratégie de communication claire visant à protéger l'intégrité de la mémoire de son père et à empêcher toute exploitation commerciale qu'il estime abusive de son nom.