Les deux Miss ont présenté des excuses publiques, Julie Zitouni expliquant avoir utilisé le terme "dans un sens familier" signifiant "les chanceuses", tout en comprenant que cela puisse choquer.

Cependant, ces excuses n'ont pas suffi à calmer la tempête médiatique et le cyber-harcèlement qui a suivi, Miss Provence ayant reçu plus de 30 000 messages insultants.

La nouvelle Miss France, Hinaupoko Devèze, a appelé à l'apaisement, déclarant : "Elles ont été sanctionnées [...] elles n'ont tué personne.

Je pense qu'il faut passer à autre chose".

D'anciennes lauréates ont également réagi.

Delphine Wespiser a contextualisé l'incident, suggérant que de telles tensions existent chaque année sans être filmées, tandis qu'Élodie Gossuin a exprimé une certaine nostalgie pour l'ère pré-réseaux sociaux, jugeant que "c'était mieux avant".