L'élection de Miss France 2026 a été marquée par un scandale sans précédent, conduisant à la destitution de Miss Aquitaine et Miss Provence après la fuite d'une vidéo privée. Cette affaire a provoqué une vague de réactions, de la part du comité, des Miss concernées et de la nouvelle lauréate, Hinaupoko Devèze. La controverse a éclaté après la diffusion d'une vidéo privée dans laquelle Julie Zitouni (Miss Provence) et Aïnhoa Lahitete (Miss Aquitaine) qualifiaient les candidates du Top 12 de "grosses putes". Face à l'indignation publique, la réponse du comité Miss France a été rapide et ferme : la destitution des deux jeunes femmes, une décision jugée "inévitable" par le président Frédéric Gilbert pour préserver les valeurs de "bienveillance" du concours.
Les deux Miss ont présenté des excuses publiques, Julie Zitouni expliquant avoir utilisé le terme "dans un sens familier" signifiant "les chanceuses", tout en comprenant que cela puisse choquer.
Cependant, ces excuses n'ont pas suffi à calmer la tempête médiatique et le cyber-harcèlement qui a suivi, Miss Provence ayant reçu plus de 30 000 messages insultants.
La nouvelle Miss France, Hinaupoko Devèze, a appelé à l'apaisement, déclarant : "Elles ont été sanctionnées [...] elles n'ont tué personne.
Je pense qu'il faut passer à autre chose".
D'anciennes lauréates ont également réagi.
Delphine Wespiser a contextualisé l'incident, suggérant que de telles tensions existent chaque année sans être filmées, tandis qu'Élodie Gossuin a exprimé une certaine nostalgie pour l'ère pré-réseaux sociaux, jugeant que "c'était mieux avant".
En résuméLa destitution de Miss Provence et Miss Aquitaine pour des insultes a entaché Miss France 2026. Malgré leurs excuses, la sanction a été maintenue, déclenchant un débat sur le comportement des candidates et le cyber-harcèlement, la nouvelle Miss France appelant à tourner la page.