Cette situation a des répercussions directes sur la famille.

Le roi Charles III a pris ses distances, n'invitant pas son frère Andrew ni son ex-femme Sarah Ferguson au traditionnel déjeuner de Noël à Buckingham.

Cette exclusion place les princesses Beatrice et Eugenie dans un "tiraillement affectif", partagées entre leur loyauté envers la Couronne et leur soutien à leur père.

Selon des proches, elles vivent un "cauchemar logistique et émotionnel" à l'approche des fêtes.

Face à cette crise, le prince William adopterait une posture protectrice envers ses cousines.

Conscient du traumatisme que peut causer l'exposition médiatique des problèmes parentaux, il ferait preuve de compassion, considérant que Beatrice et Eugenie sont des victimes collatérales qui "n’ont pas été accusées d’avoir fait quelque chose de mal" et ont dû supporter l'humiliation publique de leurs parents pendant des années.