Sa sortie médiatique met en lumière les dérives des réseaux sociaux et la pression subie par les jeunes artistes. Face aux critiques et aux messages haineux visant les élèves, Marlène Schaff a haussé le ton dans plusieurs interviews, qualifiant les harceleurs de "tribu de gens mal élevés" et déclarant que leur comportement est "inacceptable". Elle a instauré une politique de "tolérance zéro" face à ce phénomène, rappelant que le racisme et l'homophobie sont punissables par la loi. La professeure a souligné l'injustice de ces attaques visant des "jeunes gamins qui ont un rêve dans leur vie" et qui ne sont "bien sûr que non" pas parfaits.
Elle a insisté sur la nécessité d'une prise de conscience collective : "Le vivre-ensemble, ça commence déjà sur son clavier". Elle-même victime de critiques, notamment de grossophobie par le passé, elle a expliqué comment cette expérience l'a aidée à comprendre la blessure de ses élèves et à les protéger. Sa prise de position a été saluée, notamment par sa collègue Lucie Bernardoni, qui a défendu sur les réseaux sociaux une "femme bien et empathique" face aux "rivières de haine".
Marlène Schaff a conclu en adressant un avertissement aux harceleurs : "On vous voit et on vous juge. Ne vous inquiétez pas, cela va finir par se retourner contre vous".












