Elle s'inscrit dans un contexte plus large où la démission devient une « grande décision » envisagée par de nombreux salariés.
Selon une enquête de l'institut Flashs, quitter son poste est l'une des principales résolutions professionnelles pour 2025. Les raisons évoquées sont multiples : 36 % des sondés souhaitant démissionner citent un environnement de travail toxique ou peu épanouissant, une charge de travail excessive, un manque de perspectives d'évolution ou une perte de sens.
Cette tendance est indissociable d'une nouvelle hiérarchie des priorités, où la santé mentale et l'équilibre vie professionnelle-vie personnelle priment.
Les salariés aspirent à moins de stress, à des relations plus bienveillantes et à la possibilité de se déconnecter en dehors des heures de bureau. Le « quittoking » n'est donc pas seulement une bravade numérique, mais le symptôme d'une attente forte de la part des employés.
Pour les entreprises, ce phénomène constitue un signal d'alarme, soulignant l'urgence de « prendre soin de leurs salariés » pour retenir les talents.






