L'affaire a rapidement enflammé les réseaux sociaux, mettant en lumière le contraste entre l'image publique du praticien et les allégations concernant sa vie privée.
Dans ses publications, aujourd'hui supprimées, Souailla Mohamed interpellait sa communauté : « Je me demande comment aider une personne victime de violences psychologiques par son mari, un médecin ?
».
Elle a également dénoncé une dissonance entre les conseils de nutrition que son mari prodigue publiquement et ses habitudes personnelles, affirmant qu'il consomme en cachette « des cochonneries qu'il cache dans sa voiture ». Bien qu'elle ait reconnu avoir agi dans un « moment d'impulsivité », elle a précisé que cette démarche témoignait d'un mal-être profond, arrivant « au bout du bout du rouleau » après 15 ans de mariage. Cette affaire a suscité un débat public intense, notamment sur la fascination qu'exercent les conflits conjugaux de personnalités publiques.
Des analystes y voient plusieurs mécanismes psychologiques à l'œuvre, comme le « choc narratif » de voir une image publique lisse se fissurer, ou le « Schadenfreude », ce plaisir inavouable ressenti face aux déboires d'autrui. La controverse est d'autant plus marquante qu'elle touche un expert dont la parole est largement diffusée, comme en témoignent d'autres articles relayant ses conseils sur le gingembre ou le vinaigre pour la perte de poids.












