Il a jugé le "jeu politique affligeant" et a estimé que l'on ne pouvait "pas faire durer ce que nous vivons depuis six mois pendant 18 mois encore".

Cette prise de position a été interprétée comme un "parricide" politique et a accentué l'isolement du chef de l'État.

D'autres figures comme Christian Estrosi ont relayé cet appel.

Cette option est également la solution privilégiée par La France insoumise, qui réclame le départ du président depuis des mois. Cependant, cette solution est loin de faire l'unanimité.

Gabriel Attal a affirmé que son camp ne mêlerait "jamais" ses voix à ceux qui appellent à la démission du président. Des constitutionnalistes soulignent également la complexité d'une "démission programmée", l'article 7 de la Constitution prévoyant une élection sous 35 jours maximum après la constatation de la vacance du pouvoir, rendant une campagne organisée difficile.