Ces déclarations, venant de deux personnalités qui ont été au cœur du pouvoir macroniste, ont été perçues comme un lâchage en règle.

Des ministres comme Agnès Pannier-Runacher ont également exprimé leur désaccord sur la stratégie à suivre.

Ces critiques internes transforment la crise institutionnelle en une crise personnelle pour le président, dépeint comme un « paria solitaire » et un « chef d’orchestre du chaos », incapable de maintenir l'unité de ses propres troupes. L'agonie du macronisme semble engagée, ses anciens fidèles cherchant désormais à se démarquer en vue des échéances de 2027.