Cette exclusion a été vivement critiquée par les partis concernés.
Jordan Bardella, président du RN, a réagi en affirmant : « Le Rassemblement National s'honore de ne pas y être convié : nous ne sommes pas à vendre aux macronistes ». De son côté, Jean-Luc Mélenchon a dénoncé « le défilé de l’Elysée », le qualifiant de vaine agitation.
Cette mise à l'écart s'inscrit dans la continuité des consultations menées par Sébastien Lecornu, qui n'avait pas non plus convié ces deux formations, considérées comme étant en dehors du champ des compromis possibles.
L'objectif de la réunion était d'appeler à « un moment de responsabilité collective » pour trouver une solution et éviter une dissolution.
En ne conviant que le PS, les Écologistes, le PCF, les centristes, LR et les membres du bloc présidentiel, Emmanuel Macron a clairement délimité le périmètre politique dans lequel il espérait pouvoir construire une « plateforme de stabilité ».











