La porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, a finalement annoncé que les textes seraient inscrits à l'ordre du jour du Sénat après l'examen du budget, avec l'objectif que le débat soit "tranché avant la présidentielle de 2027". Cette annonce vise à rassurer les parlementaires, comme le député Olivier Falorni, qui craignaient un "enlisement" du projet face à l'opposition de la majorité sénatoriale Les Républicains. L'aspect le plus marquant de la nouvelle approche gouvernementale est la déclaration de Sébastien Lecornu. Interrogé au Sénat, il a promis que "l'ensemble des membres du gouvernement bénéficieront d'une liberté de ton, de prise de position, de liberté de parole totale sur un texte qui touche à l'intime". Cette posture inédite sur un projet de loi aussi important reconnaît la dimension personnelle et éthique du sujet, mais ouvre également la porte à une possible cacophonie au sein de l'exécutif, où les sensibilités personnelles pourraient s'exprimer publiquement et potentiellement de manière contradictoire.
Débat sur la fin de vie : le gouvernement promet une "liberté de parole totale"
Le projet de loi sur la fin de vie, sujet sociétal majeur et sensible, voit son calendrier parlementaire de nouveau précisé par le gouvernement après plusieurs reports dus à l'instabilité politique. Le Premier ministre Sébastien Lecornu a pris une position notable en garantissant une liberté de parole totale aux membres de son gouvernement sur ce texte "qui touche à l'intime". Après avoir été adoptées en première lecture à l'Assemblée nationale en mai, les deux propositions de loi, l'une sur les soins palliatifs et l'autre, plus controversée, sur l'aide active à mourir, ont vu leur examen au Sénat reporté à plusieurs reprises en raison des crises gouvernementales successives.



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La France cherche à se doter d’un budget pour améliorer la croissance et le pouvoir d’achat des Français, tout en rétablissant les comptes publics. Pas une mince affaire puisque nos députés ont des lacunes phénoménales en économie.

C’est tout sauf une surprise, tant le gaillard travaille sur ce projet depuis des mois. Mais depuis ce jeudi soir, c’est officiel. À 31 ans, Alexandre Chopinez est candidat à la mairie de Vittel pour la deuxième fois, après une première tentative en 2014, quand il était encore étudiant.





