Cette décision a immédiatement provoqué les critiques du patronat. L'Afep, représentant les plus grands groupes français, a dénoncé un reniement des engagements du gouvernement, prévenant que ces choix « affecteront les projets d’innovation et d’investissement ».

À gauche, Boris Vallaud (PS) a salué « un premier pas qui en appelle beaucoup d’autres », tout en jugeant la division du camp présidentiel « pas rassurante pour la suite ».